Résilience et inclusion

Depuis la création de Dolphinus à la mi 2017, la France a traversé 2 mouvements sociaux majeurs, une crise sanitaire et le retour de l’inflation. Bref nous avons fait preuve de résilience et sommes fières d’être toujours là (sans argent public).

Je me permets donc un petit retour en arrière pour illustrer une des préoccupations majeures actuelles de nos clients.

En effet depuis sa création Dolphinus souhaite être à vos côtés pour retenir et valoriser vos talents, loin d’imaginer l’importance que cela revêtirait aujourd’hui pour bon nombre d’organisations.

C’est ainsi qu’en janvier 2019 la convention de formation puis le partenariat avec map&match voyait le jour pour vous accompagner dans la prise en compte du plaisir de faire et de faire ensemble.

Aujourd’hui il existe encore des entités réticentes à la flexibilité en termes de travail à distance ou qui ont du mal à concilier cette flexibilité et la qualité de vie au travail (d’ailleurs si c’est votre cas et que vous êtes une entité de moins de 300 salariés, n’hésitez pas à me contacter très rapidement ???? ; je veux dire sans attendre la rentrée ????. De leur côté les candidats la considèrent comme un acquis et attachent de plus en plus d’importance à la vision de l’entreprise et à l’impact qu’elle souhaite avoir.

La politique RSE de l’entreprise est donc un levier fort pour fidéliser les collaborateurs ; (attention aux retours engendrés par le « green-washing). Elle joue même un rôle dans l’engagement de 85% des collaborateurs selon une enquête Microsoft 365.

Sensible à ce mouvement avant même la création de Dolphinus, j’ai tout naturellement rejoint L’Institut de Comptabilité de l’Immatériel né à l’initiative d’Alan Fustec, rencontré en 2005 grâce à l’Institut de Haute Finance. Je me suis ainsi formée en mai 2020 à la plateforme Goodwill digital et à l’évaluation 360 ° d’une entreprise.

Ce qui a pu apparaître à certains prospects aux débuts de Dolphinus comme un pantin désarticuler est bel et bien un puzzle cohérent. Un article de Samir Hamladji  intitulé « Comment retenir et valoriser les talents » paru dans les échos le 21 juillet 2022, mettant en lumière un tout d’horizon des initiatives de certaines entreprises pour retenir les forces vives, montre la logique de ma démarche intuitive.

En effet, j’avais expérimenté qu’un collaborateur quitte davantage son manager plutôt que son entreprise avant même de savoir que de nombreuses études l’attestent. Dolphinus apporte donc sa pierre à l’édifice pour cimenter les relations collaborateur-manager.

Cet article relate qu’Elodie Gourmellet, DRH de l’entité Automatic Data Processing (ADP) en France et en Suisse estime que, « l’équité, la diversité et l’inclusion deviennent cardinales dans l’attraction et la rétention des talents ».

J’entends l’inclusion non seulement dans ses aspects RSE mais également dans son aspect relationnel.

En effet, selon les travaux de Will Schutz tout être humain est concerné par 3 dimensions essentielles du comportement, à l’œuvre en permanence à des degrés divers selon les situations et les personnes, que sont : l’inclusion, l’influence et l’ouverture.

(pour ceux qui veulent en savoir plus, se référer à l’ouvrage d’Alain Leduc « Leadership et confiance » aux éditions Dunod pages 167 à 169). Avant l’heure du télétravail de masse contraint, j’étais sensibilisée à cette dimension inclusion grâce à un témoignage sur les tiers-lieux lors d’un World Forum.

L’inclusion (ou l’intégration) que l’on peut mesurer aux contacts avec les autres ( nécessaire et non suffisante à l’heure de la collaboration et de la coopération, qui nécessitent aussi les 2 autres dimensions d’influence et d’ouverture pour être optimales) peut être couplée à la notion bien connue d’émetteur et de récepteur.

Le leader agile va être celui qui saura maintenir un lien d’inclusion adapté à chaque membre de son équipe, en étant à l’aise aussi bien en tant qu’émetteur que de récepteur.  

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